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Communes pour la Langue française
Quels résultats après plus de quatre années de campagne par ALF ?
Elle visait à sensibiliser la France profonde au travers de ses communes à la défense du français, patrimoine immatériel, et contre la généralisation du globish, de plus en plus difficile à contenir si le peuple français ne reprend pas conscience de la fécondité de sa culture littéraire et artistique, de son histoire, de sa grandeur passée, de ses atouts présents (la France est 5ème puissance économique, le deuxième pays du monde en termes de surface maritime juste derrière les États-Unis, et est reconnue comme "grande puissance culturelle").
Nous voulions en obtenir une sorte d’équivalent d’un referendum d’initiative populaire sur le français en France par le vote d’un manifeste par des centaines de conseils municipaux. Nous voulions un résultat représentatif de la diversité géographique, politique, culturelle et linguistique de la France.
Cette campagne écartait les seules capitales et métropoles de la Francophonie, déjà toutes impliquées solidairement dans l'action de l'Association internationale des Maires francophones (A.I.M.F.) créée en 1979, et passée en 1997 sous l’égide de l’O.I.F. Elle écartait donc Paris et les métropoles de France.
Un bilan a été dressé à l’occasion de notre conférence de presse inter-associative du 9 mai 2017 à Paris. Après quatre ans et demi de campagne (menée de façon très artisanale, il faut le souligner !), près de 400 communes françaises réparties dans 75 départements et deux Territoires d’Outre-Mer ont accepté d’adopter notre motion franco-québécoise de soutien à notre langue commune. Qu’elles en soient remerciées !
Les municipalités impliquées représentent 3 millions d’habitants, dont 2 750 000 en métropole, 108 000 dans les DROM-COM, 93 000 en Wallonie, et 58 000 au Québec. En somme, à défaut d’un referendum d’initiative populaire organisé partout, avec de gros moyens que nous étions très loin d’avoir, c’est un gigantesque sondage…
La représentativité géographique est là : toutes les régions sauf les DROM ont des votantes ; 75 départements sur 100 ; et des communes de 2 COM ont voté.
Le Québec et la Wallonie sont venus en renfort, montrant qu’il existe toujours une solidarité francophone hors de France, alors que la campagne y a été lancée à l’automne 2015 seulement, et selon le même modus operandi (le même manifeste franco-québécois à faire voter grâce à l’action de partenaires associatifs locaux).
La représentativité selon les tailles des communes a été atteinte, des 39 habitants d’une commune de la Castagniccia, en Corse, aux près de 200 000 de la ville de Reims.
La représentativité selon les orientations politiques présente toutes les nuances de l’échiquier politique, de Grigny (FG, Rhône) à Villers-Cotterêts et Fréjus (FN), en passant par Grenay et Saint-Amand-les-Eaux (PCF), Tulle (PS, ville de M. Hollande), Château-Thierry (PS), Brienne, Menton, Provins, Rueil-Malmaison et Versailles (LR).
La représentativité selon le caractère emblématique (à divers titres) de communes impliquées est pleinement atteinte, comme le prouvent les exemples suivants : Baccarat, Béziers, Bollène, Brantôme, Brienne, Cambrai, Chablis, Cognac, Douai, Évian, Èze, Fréjus, Grignan-Sévigné, Grigny (Rhône), Le Luc, Lunéville, Maisons-Laffitte, Menton, Montfermeil, Oloron-Sainte-Marie, Orange, Pézenas, Poissy, Pompadour, Provins, Reims, Riviera française (agglo de 15 communes, dont Roquebrune, La Turbie, Tende et La Brigue), Rueil-Malmaison, Saint-Jean-Cap-Ferrat, Saumur, Sens, Sénonais (agglo de 29 communes, dont Villeneuve-sur-Yonne), Suresnes, Tulle (ville du Président au moment du vote), Valmont, Verdun (Meuse), Versailles, Vézelay, Villers-Cotterêts ; Outre-mer : Bouloupari, Dumbéa, Païta et Le Mont Dore en Nouvelle-Calédonie, Nuku Hiva en Polynésie, ont voté ce manifeste franco-québécois.
Hors de France, 28 communes s’ajoutent aux centaines de françaises : 23 au Québec. 4 en Wallonie ; 1 en vallée vaudoise italienne : la Pignerol alors française de Fouquet et du Masque de Fer, y enfermés par Louis XIV…
Les départements à langues régionales bien présentes n’ont pas été oubliés. Pour la plupart : Ardèche, Nord et Pas-de-Calais, Savoies, Dordogne, Alpes Maritimes, Hérault, Var, Vaucluse, ils ont été autant impliqués que ceux parlant un français d’oïl. Certains, où nous avions d’actifs relais, ont même fait mieux, telle la Corrèze. Dans d’autres, des maires saisis ont craint qu’en défendant le français langue officielle et commune - auquel ils ne sont pas hostiles - ils paraîtraient aller contre la langue régionale. Nous avons donc peu de votes dans les Pyrénées atlantiques et orientales, en Bretagne, en Corse, en Alsace-Moselle.
Répétons que Paris et les métropoles françaises, belges, québécoises, n’apparaissent pas car elles appartiennent déjà à l’AIMF, opérateur de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), à laquelle, avec l’accord d’icelle, nous avions adossé notre campagne.
Au total : un demi-succès. Mais important.
On voit bien que dans les départements où nous avions des militants très introduits et dynamiques, et a fortiori des parlementaires prenant le relais, les votes ont été beaucoup plus nombreux qu’ailleurs. C’est le cas surtout de l’Yonne, mais aussi de la Meurthe-et-Moselle (député LR Jacques Lamblin : 15 communes à lui seul), des Alpes-Maritimes (pourtant "périphériques", à langue locale forte), de la Corrèze, du Nord et du Pas-de-Calais, de la Savoie, de l’Ardèche (député PS Pascal Terrasse), de la Nouvelle-Calédonie aussi, grâce à notre partenaire l’Alliance Champlain ; alors que nous n’avions aucun relais d’action aux Antilles, à Saint-Pierre-et-Miquelon, en Guyane et à la Réunion).
Contentons-nous donc de ce résultat obtenu grâce à nos réseaux associatifs, sans l’aide des grandes institutions publiques et médiatiques. Merci à tous ceux qui y ont contribué !
Le peuple français tient au français. Notre gigantesque sondage, par les communes, le prouve.
Mais il est urgent de rétablir l’enseignement de notre culture, de nos classiques, au peuple de France, de lui rendre sa fierté, et son passé. Le premier document officiel rédigé en langue française (ou du moins identifié comme tel par les historiens de la langue et les philologues) a 1175 ans d’âge ! Il s’agit des "Serments de Strasbourg" échangés en l’an de grâce 842 entre Charles le Chauve et Louis le Germanique, petits-fils de Charlemagne. Et il faut montrer à nos compatriotes que l’avenir, lui, s’écrit pour eux en français. par Gilles Quincy (en Corrèze) et Albert Salon.
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